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| Contexte : Avril 2001. Nous avons gardé un très bon souvenir du jardin de Balata que nous avons visité lors d'un séjour précédent. C'est donc avec plaisir que nous reprenons la route, assez pittoresque, bordée de villas créoles et serpentant vers le Carbet, pour nous replonger dans cet univers de fleurs surprenantes par leur taille et leurs couleurs. |
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Un
conseil : n'arrivez pas à 16h et n'oubliez pas les
pellicules neuves, vous feriez une frustration ! A la sortie du hall d'accueil, s'il n'y a pas trop de passage, vous aurez l'occasion de voir des colibris et autres sucriers qui viennent se gorger d'eau sucrée. Mais déjà, l'oeil ne sait plus où se fixer : cette orchidée, cette "goutte de sang", ce palmier nain...trois photos déjà, plus les quatre ou cinq de ce diable de colibri qui bougeait tout le temps !... |
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| ......... et encore un
hibiscus .... ............ un balisier: "regarde, c'est énorme !"................................................... ......... un anthurium, "tiens là, derrière, il y en a des rouges !"........................ |
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...on
ne va pas à la Martinique sans faire connaissance avec
le bananier et son étrange fleur ! ...la rose de porcelaine, je crois... et celle-là, c'est quoi déjà ? |
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| Et pourtant, à l'entrée, on
prend une feuille donnant les noms des différentes
plantes numérotées dans le jardin ! Mais devant
une telle profusion de formes et de couleurs, le visiteur
finit par abandonner ... et se contente de l'effet de surprise à chaque détour du sentier. |
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Par
endroits, la vue semble irréelle, comme issue d'un (bon)
dessin animé. |
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| Au gré du sentier, on passe
de la forêt de palmiers................... ............ à celle de fougères arborescentes. Parfois une fenêtre s'ouvre dans ces frondaisons et, aa-delà des ravines et des pitons, on aperçoit la mer. |
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Conclusion : A voir, absolument !
Si on aime les fleurs, on peut y passer l'après-midi. N'oubliez pas de recharger la batterie du camescope !
